Dès la fin des années 60, Daniel Buren s’intéresse à la lumière, naturelle ou électrique, dans une multitude de travaux jouant avec la transparence, les reflets, les superpositions chromatiques, l’éclairage et le rayonnement lumineux.
Cette démarche l’amène tout naturellement en 2006, dans le cadre de “Lille 3000 - Futurotextiles”, à la demande de Brochier Technologies, à collaborer avec eux pour un prototype associant des faisceaux de fibres optiques avec des sources de lumière (LED). Il continuera ensuite l’exploration de ce domaine mêlant matière et lumière et concevra de grandes expositions avec ces œuvres à Chemnitz (Allemagne), Gwangju (Corée du Sud), Bergame (Italie) ou sur le lac d’Iseo en Lombardie.